Xander - La manipulation est un art.

Anecdotes »Première chose à savoir c’est que Xander (oui je parle de moi à la troisième personne) a toujours raison. Du coup, si vous êtes pas sûr du restes des règles, ben, référez-vous à la règle numéro une, parce qu’au final, la règle numéro deux c’est la même et la troisième également. (2) Je suis né dans cette ville pourrie, au nom pourri. C’est quoi ce nom ? Lafayette, ça fait vieille chaussette…Bref. Mon père c’est un grand PDG d’une entreprise immobilière et ma mère, elle bosse pour lui, comme quoi, écarter les jambes ça sert à quelque chose. Ils ont tous cru, qu’un jour, j’allais entrer dans les rangs…bien sûr, ils ont fini par s’asseoir dessus, moi et les costumes ça fait deux. (3) Quand j’étais gamin, j’adorais monter sur le dos de mon bichon, enfin, sur celui de ma mère. Ouai, je croyais que c’était un digne destrier et qu’il allait hennir…a la place il bectait comme un crétin ! Je pense que ça me vient de là ma passion pour les clebs, le pire, c’est que ce con se nommait loulou et que je hurlais : HUUUUUU LOULOU. (4) J’ai jamais été comme les autres gosses du quartier, enfin, je crois…peut-être que certains avaient également tendance à vouloir reluquer le voisin à travers la fenêtre. Ouai, j’ai vite réalisé que j’aimais pas les moules mais plus les frites, où les saucisses, à votre guise. Bref, au menu, je voulais juste des muscles. (5) En parlant de saucisse, je les aime avec du ketchup, merci, la mayonnaise ça me donne la nausée. (6) Déjà enfant j’avais une certaine tendance à vite faire des crises de nerfs pour rien…Je hurlais, je frappais, je cassais des trucs et visais essentiellement mon père. Bref, mes nourrices s’arrachaient les cheveux avec moi et le pire, c’est que parfois, je piquais des crises juste pour le plaisir de voir les autres réagir. Ouai, j’étais un sale gosse et je le suis toujours. (7) Etrangement, j’ai toujours eu une bonne réputation. Pourquoi ? Vous voyez le gamin au sourire d’ange qui vous crache à la tronche une fois le dos tourné ? Ben c’était moi…En public j’ai rapidement compris qu’il fallait que je sois irréprochable et qu’ainsi, je pourrais mieux faire mes coups en douce. ( Et oui, très jeune j’ai commencé à manipuler les gens à ma guise, faut dire qu’avec une gueule comme la mienne ce n’était pas très difficile… (9) C’est à l’âge de quatorze ans que j’ai perdu mon innocence et, attention roulement de tambour, avec mon voisin de six ans mon aîné. Ouai, j’en suis pas peu fier de cette nuit-là, sauf que du coup, j’y ai pris gout et que j’avais le feu au cul constamment. Un vrai lapin. (10) Comme vous avez pu le remarquer, j’ai jamais été très net dans ma tête, c’est donc non sans surprises que j’ai fini par toucher à la drogue. Je pense que c’est en quelque sorte pour savoir contrôler mes pulsions, mes envies de me défouler dès que j’en ai l’occasion, n’empêche, je suis devenu rapidement accro à cette saloperie. (11) J’ai toujours été un grand adorateur des crimes de la vieille chaussette, hum, Lafayette pardon. Donc oui, c’est tout naturellement que je me suis intéressé à la famille Becker. J’étais genre le chewing-gum collé à leur semelle, sauf que moi, j’agissais dans l’ombre. (12) En grandissant, je suis devenu tueur à gage, enfin, j’ai exécuté mon premier contact à dix-huit ans et, j’étais foutrement doué…d’ailleurs, j’ai trop kiffé, le sang et tout et tout, comme de la gélatine, c’était cool. Mon psy par contre, je crois qu’il a jamais vraiment aimé mes histoires. (13) J’ai commencé à enquêter de mon côté, fouineur comme je suis et avec mon talent irréprochable, j’ai retrouvé Thaddeus chez les Morgan. Sérieux, j’aurais dû me casser une jambe ce jour-là. (14) Thaddeus, il était attaché dans un grenier, un peu comme le fantôme de l’opéra mais en remix. Pire que Loulou quand j’étais gosse…mais vous savez quoi ? J’étais vachement surpris sur ce coup-là. Je m’attendais à voir un asticot, à la place, j’ai fait face à un jeune homme assez…Ben assez quoi… (14) Papa, il m’a coupé les vivres deux semaines plus tard, juste parce que je me droguais. Le mec, il a cru que c’était noël en me disant : c’est la drogue ou tes cartes de crédits. Bien sûr quand j’ai dit que je l’emmerdais royalement, il a pas apprécié et m’a coupé l’accès à la fortune familiale. (15) Heureusement pour moi, je détenais là ma porte de secoure, Thaddeus. Ce mioche amoché par la vie. Je lui ai promis monts et merveilles, que je le protégeais, que rien ne pourrait lui arriver. J’ai enfilé ma cape de super-héros dans le seul but d’arnaquer son père…je m’attendais pas à ressentir des trucs pour lui. Ouai, j’aurais du me casser une jambe ! (16) Bien sûr, dans la vie, personne ne sait que je suis un tueur à cage, manquerait plus que ça. Officiellement, je suis éleveur de chiens de races, enfin, je l’étais vu que papa m’a choppé tous mes clebs et que dans mon appartement je peux juste y mettre trois chiens… (17) Je suis un grand manipulateur, mais ça je l’ai déjà dit. Sauf que voilà, ça va jusqu’au point où beaucoup me prennent pour un ange qu’on doit pas faire chier pour autant. Mes bagarres, elles sont violentes, mais sachez que je ne frappe jamais le premier. Je ne suis pas stupide…provocateur dans l’âme, je sais quoi dire pour forcer les autres à cogner les premiers et donc, monsieur l’agent, c’était de la légitime défense (18) Moi, je suis égoïste, j’emmerde les problèmes des autres, je pense qu’à mon petit confort et potentiellement à mon petit ami…mais ça, faut pas le lui dire il prendrait la grosse tête ce con. (19) Je suis un grand sportif, la preuve, quand je ne dors pas, ne tue pas, ne joue pas, ben je fais du sport. (20) Oh, je suis proche de ma cousine, Mélissa. Faut pas toucher à ma rousse, sinon je mords, que ça vous plaise ou non, elle et moi on est lié par nos maman chéries. D’ailleurs, j’crois que la mienne est morte, je pense avoir recu un avis de décès donc…peut-être que je vais hériter !

Q1: Quelle a été ta réaction en apprenant l'histoire de ce cadavre inconnu retrouvé, une page de journal dans sa main ? » J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps, j’ai fait une dépression et j’ai voulu me jeter par la fenêtre. Bien sûr, ceci est ironique. A vrai dire, je n’en ai absolument rien à foutre, je pense même que j’ai donné l’article à mes chiens pour qu’ils fassent leurs besoins dessus. Sérieusement, ma vie est assez remplie pour que je m’inquiète des gens qui crèvent dans cette ville de vieilles chaussettes. Oh, en société je vais faire le mec inquiet alors qu’en vrai…rien à foutre.

Q2: Tu as peur de ce qui pourrait encore arriver ou bien tu laisses passer en pensant que ça n'arrive toujours qu'aux autres ? » Faut laisser couler, des malades y’en a partout. Des gens qui tuent, qui font joujou…Hm, pardon, je suis mal placé pour parler ? D’accord, mais je jure sur mon honneur de tueur à gage que j’suis pour rien. Non mais sérieusement, je ne m’inquiète absolument pas. Le seul truc qui peut potentiellement me faire flipper, c’est que mon petit ami se promène avec un couteau sur lui…bien que moi, j’ai constamment un flingue sur moi aussi. D’accord, en vrai, rien à battre, personne va me toucher et je suis pas une cible potentielle. Si ?

Q3: Par rapport à toutes ces disparitions non élucidées, êtes-vous du genre à mener l'enquête et à trouver même le plus petit détail pour découvrir la vérité ou plutôt du genre à préférer ne même pas y penser ? » Je suis du genre fouineur dans l’âme, vu que j’adore les crimes de la vieille chaussette. Donc ouai, je suis plutôt du genre à mener ma propre enquête comme je l’ai déjà fait. Je cherche de mon côté, tapis dans l’ombre, je peux repérer les détails parfois très subtils qui me mèneront à la vérité. La preuve, j’ai retrouvé Thaddeus dans un grenier, alors attention, merci de me surnommer Sherlock Holmes