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You are pain the pain trought my chest (Spencer)

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You are pain the pain trought my chest
Nigel Morgan & Spencer Reed
Une tape dans mon dos, je soupire et fixe mon casier ouvert. J'agite les épaules en soupirant. « Hey Creep, tu fous quoi ce week-end? » Je tourne la tête vers lui avant de refermer ma casae. Je le repousse un peu et je soupire. Il aimait bien cette idée de me taquiner, il se croyait pour mon meilleur pote. Il me frappe l'épaule pour attirer à nouveau mon attention. Je le repousse brusquement le plaquant contre les cases. Je n'aimais pas me faire bousculer de cette façon. « Ce week-end, je baise ta soeur Dusty. » Je le plaque un bon coup contre les casiers et me redresse. Je croise les bras et m'appuie près de lui. Il a comprit, son silence l'explique. D'eux autres s'approchent et me font le même coup en riant. Mon regard divague, je regarde ailleurs. Ils me parlent, mais je n'écoute pas. Je les entends, mais je ne comprends rien. Au loin je vois cette mèche doré volé en tournant le coin. Mon coeur se serre, ma respiration se coupe. Je secoue la tête, pas cette fois. Je les pousse chacun leur tour pour me diriger vers elle. À chaque pas que je fais, mon coeur se serre, à chaque fois que je fais un pas, j'ai une sensation de recule. J'ai l'impression d'être repoussé sans même qu'on ne me touche. Je passe ma main sur mon visage et je la suis, silencieux. Je me faufile à travers les gens, je les écarte de mon chemin et je tente de la rattraper, mais à chaque pas, elle en fait deux. J'ignore ce qu'y m'a prit, mais j'ai accéléré le pas, j'ai couru pour la rejoindre. Heurté par quelqu'un, j'ai été poussé contre les cases. Je l'ai perdu de vu. J'ai tourné sur moi-même voyant tout le monde retourner à leur cours. « Non, non, non... » Je pousse un soupire et me prend la tête entre les mains. Je sens mon coeur s'emballer, je n'ai jamais ressentit ça au par-avant. Pourquoi est-ce que je cherchais temps à la rattraper ? Puis seul dans le couloir, je la vois du coin de l'oeil d'un pas pressé. J'eus un élan et cette fois, je l'ai rattrapé. J'ai agrippé son bras et je l'ai poussé contre le mur. Et je me suis plaqué contre elle pour l'empêcher de partir. Mon bras contre les cases près de sa tête je la regarde droit dans les yeux. « Pourquoi est-ce que tu me fuis comme ça? »
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ft. nigel


Une nouvelle semaine de cours commençait, j'étais super anxieuse à l'idée d'aller à l'université pourtant suivre des cours d'informatiques j'adorais ça, mais pourtant quelque chose cloche. Cependant, je décide de me ménager et donc d'entrer dans cette énorme établissement bondés de monde.
Mes amies venaient à peine de me rejoindre que j'entendais parler de la première cause de mes problèmes et la principale : Creep, les filles étaient en admiration devant lui : six mois, que j'entends parler de lui. Certes j'avoue il est on ne peut plus attirant, mais tout de même : les sujets des filles peuvent bien tourner autour d'autres choses non ? "Tu fais quoi ce week-end, Spencer ?" me demande une fille aux cheveux bruns. "Rien, j'ai du boulot au travail" je réponds peut-être un peu de façon franche, mais je m'en fiche.
J'entre dans la première salle de cours, tout ce passe relativement bien, oui je prends carrément du plaisir à entendre des cours que des filles à parler de mecs sans arrêt. Le cours se termine et une pause nous ait accordée, je sors de la salle de cours et je ressens une vague de chaleur humaine : les étudiants. Je presse mes livres contre ma poitrine et me dirige d'un pas pressée vers la prochaine salle de cours, je longe les cases des étudiants et je tourne afin de me retrouver dans un nouveau couloir bondés de monde. Je soupire et ferme les yeux un instant. Je me décale du mur à ma droite et continue mon chemin lorsque je sens mon corps projeté contre le mur, je ferme les yeux instinctivement et le silence règne dans le couloir, je ré-ouvre les yeux et je vois sa gueule d'ange démoniaque, il me demande pourquoi je l'évite.
"C'est simple tu me causes trop de problèmes" mon coeur tambourine fortement dans ma poitrine et une sensation étrange git dans le bas de mon ventre, j'essaye de me calmer de peur qu'il puisse entendre les battements de mon coeur. Je reprends en tentant de me calmer "Tout le monde parle de toi, t'es un dieu vivant ici" dis-je ironiquement, il ne faut pas que je sois faible face à lui c'est juste Creep



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Nigel Morgan & Spencer Reed
C'était trop facile de rester loin d'elle. C'était trop facile de l'oublier. Elle avait fuit, elle était là un instant et l'autre d'après elle était partie en larmes. Je suis resté là en plan sans comprendre pourquoi elle décampait comme ça. Je n'avais rien fait, du moins pas encore. Est-ce que je lui vais fait peur ? Est-ce que j'avais dit quelque chose de déplacé. J'avais tellement de question dans mon esprit que je n'arrivais plus à penser correctement. J'ai passé des semaines à essayer de comprendre et pourquoi ? Je me perdais à cause d'elle. Qu'est-ce qu'elle m'avait fait? J'ai essayé de lui parler suite à ça, mais non, je n'y suis jamais arrivé. À chaque fois qu'elle me voyait, elle fuyait. J'ai finit par abandonné, mais à chaque fois que je la voyais, j'avais mal. Cette douleur m'était inconnu, je ne la connaissais pas et je n'arrivais pas à la gérer.

Lui faire face maintenant semblait si différent, si... Comment dire... Je me sentais attaqué par sa présence. Je me sentais prit, coincé. J'ai figé un instant quand mon regard s'est plongé dans le sien. Je me suis perdu, j'ai perdu ce à quoi je pensais. Pourquoi est-ce que je l'avais arrêtée déjà. Appuyé contre elle, mon avant bras contre les cases, elle a nul part où aller. Elle ne peut pas se détacher de moi et moi, je n'arrive plus à bouger. Je suis figé contre elle. J'ai l'impression de retomber dix-huit mois plus tôt quand j'ai plaqué mes lèvres aux siennes. Mon coeur accélère et je ne comprends pas, j'ai cette douleur à la poitrine, c'était un peu comme si je recevais un couteau en plein coeur. Non, c'était pire. Une dizaine, une douzaine. J'avais fini par ouvrir la bouche et la réponse n'est pas venu bien longtemps après. J'arque un sourcil avec un sourire amusé. Il n'y avait que ça? Je laisse un léger rire tomber entre nous et ma tête bascule un peu vers l'avant. Puis les mots suivant me font redressé. Mon sourire disparaît et mon regard se plonge dans le sien. Mon coude reste contre les cases et ma main passe sur mon visage. Mon autre main se plaque de l'autre côté. « Tu exagères pas un peu? » J'écrase ma tête dans ma main en fermant les yeux. Je pousse un soupire et serre la mâchoire. J'ai levé les yeux à nouveau vers elle. Je me perds dans ses yeux et me rapproche sans même m'en rendre compte.
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Je me fais violence pour pas me ridiculiser à perdre mon sang froid, parce que je pourrais très bien l'insulter de tous les noms. Il me fait ressentir des choses que je ne connais même pas et même si son odeur est comparable à celle de la menthe qui vient me chatouiller les narines, je sens mon bas du ventre se tordre : ce n'est pas une sensation désagréable, mais je ne connais pas alors je flippe en réalité je le sens qu'il se rapproche de plus en plus de moi. Et surtout ce que je déteste par-dessus tout, c'est que tout le monde nous regarde, j'ai l'impression que ça fait une éternité que je suis coincé entre ce corps où j'ai envie de me glisser et sentir cette odeur si enivrante et la matière transpirant du mur qui suffoque dans le couloir de cette université.

Lorsqu'il me dit que j'exagère, sa voix me provoque un frisson et j'ai l'impression que mon sang a fait cinq fois le tour de mon corps ; je reste en suspend en cherchant quoi répondre. "Moi, exagérer ? Jamais !" j'esquisse un sourire plus tôt discret. Un souvenir s'infiltre : ce fameux baiser qu'il m'a volé comme ça pour aucune raison, j'avoue que j'ai vraiment eu peur cette fois là, mais après les jours qui ont suivi j'en redemandais. Mais soyez certains que j'ai vite compris que Creep allait être un problème le croiser dans les couloirs sans lui parler était la meilleure façon d'oublier. "Tu ne crois pas que ça fait un peu bizarre ta posture ? Sur moi ?" j'avais dit cela en essayant de lui dire, viens chez moi après les cours on pourra en parler, mais je n'étais pas sûr que ce soit une bonne idée, mais les mots ont dépassée la pensée. Je continue à zieuter les alentours pourvus que personne ne crie un truc débile. Je ne sais même pas où sont mes amies en vrai je ne les ai pas calculés quand j'ai quitté la salle de cours 



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Nigel Morgan & Spencer Reed
Elle disait ne pas exagérer, pourtant je ne le croyais pas. Je ne croyais pas les dire précédent. Avec tous ces regards sur nous, je m'étais dit qu'elle sentait de la pression, mais tout le monde allait retourner à leur cours. J'avais l'habitude de me pointer en retard et même de ne pas me pointer, mais je ne manquais jamais un examen. Puis de toute façon, je m'y connaissais plutôt bien en crimes, j'en commettais régulièrement et je ne m'arrêterai peut-être pas là. Je vend, oui c'est vrai, mais je ne fais pas que ça. Personne ne sait vraiment ce que je fais et ce que je suis capable de faire. C'est bien mieux comme ça, il faut l'avouer.  Ce qu'elle a dit ensuite est passé par l'oreille d'un sourd. J'ai vu ses lèvres bouger, je les ai fixées de façon intense. Le couloir se vide et je me retrouve seule avec elle. Encore. Je perd la notion du bruit, je n'entend plus rien, que sa respiration qui se mêle à la mienne. Ma langue se glisse sur ma lèvre inférieur et je finis par lever les yeux vers les siens. Le rythme de mon coeur accélère et j'ai encore cette douleur qui me prend au ventre. Ma respiration se coupe d'un coup et je réalise la distant inexistante entre nous. Je me recule en gardant mes mains de chaque côté d'elle pour l'empêcher de partir. J'ai balancer ma tête vers l'avant, l'écrasant entre mes épaules. Je pousse un soupire et garde le silence un moment. Je reste immobile, j'ai son odeur qui me rempli le torse. L'air que j'aspire porte cette odeur qui me rend, comment dire, calme. Je pousse un soupire et lève la tête vers elle à nouveau. « Si tu veux que je m'éloigne, je le ferai. » Je me mords la langue ne réalisant pas que je fixais ses lèvres à nouveau. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Mais qu'est-ce qui me prenait ? Pourquoi est-ce que j'étais dans cet état? Elle m'avait repoussé en larmes, pourtant je n'avais rien fait. Je voulais peut-être finir le défi quoi.
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Normalement, je ne devrais pas voir : oui je parle bien du mouvement de sa langue contre sa lèvre inférieure. Mais bordel ! Qu'est-ce qu'il m'arrive ! La sensation de frisson se propage dans tout mon corps je le sens comme une traîné de poudre, qui continue sa route pour faire explosé la bombe. Merde. Le rouge me monte aux joues. Quoi ! Spencer tu ne vas tout de même pas rougir pour des choses si insignifiante.

J'ai senti le moment où il c'est un peu éloigné de moi, il y a eu une sorte de mini courant d'air qui c'est infiltré entre lui et moi, quelle erreur de lui avoir demandé de s'éloigner mon corps ne le veut pas, je reviens sur ma décision rapidement "Mais, non c'est juste que je trouve cela un peu enfin, tu vois" dis-je légèrement gênée. Je reprends mes esprits quand je me rends compte qu'il n'y a plus personne que les couloirs sont vide il y a juste lui et moi. "Merde, Creep t'abuse je vais louper mon cours" dis-je en l'accusant de me retenir prisonnière mais si je suis un peu fautive de ne pas vouloir le dégager avec ma force, enfin si on peut appeler ça de la force bien évidemment, nous sommes seuls : cette phrase me provoque une décharge dans le corps et puis un violent souvenir remonta à la surface celui de dix-huit mois plutôt : je me souviens parfaitement m'être enfuis les joues pleines de larmes, les yeux rouges et gonflé. Oui, Creep m'a faite pleurer parce que j'avais peur et qu'après ce baiser je ne savais plus quoi penser, j'étais perdue et je n'avais pas l'habitude de ressentir ce genre de choses, je ne sais pas, si je devrais lui demander pardon ou m'excuser, je ne vais pas lui dire que c'est parce que j'ai peur. Je ne peux pas il faut que je garde ça pour moi.

Je reprends mes esprits une deuxième fois, j'ai du mal à tenir debout et toujours en étant collée à cette matière visqueuse du mur, je me rapproche de Creep, mon esprit ne répond plus de rien, il faut que je lui prouve quelques choses, mais je ne sais pas quoi, je laisse ma tête s'avancer vers sa joue droite, qui est la plus exposée à mon visage et je continue ma route vers celle-ci pour y déposer mes lèvres. Je ferme les yeux quelques instants avant de retirer ma tête délicatement et d'observer son visage. "Prends ça comme une excuse" déclarais-je en espérant que ça fera avancer les choses.



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Nigel Morgan & Spencer Reed
Un instant il y avait cette chaleur contre mon corps, contre moi, contre elle, entre nous. Puis l'instant suivant il y avant cet air frais, ce froid. J'eus un frisson qui me parcouru le dos entier. J'avouerais que rester près d'elle aurait été, j'en sais rien. Je ne peux pas dire que les choses serait plus simple avec une si grande proximité. L'espace entre nous me rendait malade. Je restais distant, mais près à la fois. Aucun contacte physique, mais je la sentais contre moi. Chaque parcelle de mon corps vibrait pour en avoir plus, pour élimer chaque parcelle d'espace qui vivait entre nous. On aurait pu croire qu'il y avait un faussé entre nous, quelque chose de non franchissable. Je n'osais plus la regarder et je ne savais pas vraiment pourquoi. J'ai gardé la tête basse, cette distance me tuait, mais je la gardais entre nous. Peu importe ce qu'elle me disait, je suis resté immobile. Ma mâchoire s'est serrée au moment où elle me dit que non. Vaux mieux garder le silence, je préférais rester silencieux, sans un mot. J'ai serré les poings contre le mur et j'y ai appuyé mes jointures avec force. J'ai levé les yeux vers elle lorsqu'elle me dit que j'abusais. J'avais ce regard sérieux, trop sérieux pour la personne que je suis. Je secoue légèrement la tête avant de laisser mes bras tomber le long de mon corps. « J'abuse? T'es sérieuse là? » Je me mord la lèvre en tournant la tête à gauche. J'ai découvert que j'avais une excellente force dans la mâchoire. Je pousse un soupire et fixe au loin les bras ballant le long de mon corps. C'était si différent de cette soirée il y a un an et demi. Cette proximité, ce manque d'espace, ce manque de souffle, mon coeur qui se débat.

Je ne l'ai pas regarder, je n'y arrivais plus avec cette colère qui me montait en pleine gorge. Mon regard s'est assombri et j'ai fixé le vide, loin de ses yeux. Je n'avais pas envie de lui montrer ce qu'elle me faisait. Mais qu'est-ce qu'elle me faisait justement, qu'est-ce qui se passait ? En sa présence il y avait quelque chose en moi qui changeait, qui m'agressait. Un silence a duré, je suis resté immobile jusqu'à ce que du coin de l'oeil je la vois bouger. Je reste immobile, la mâchoire plus que serrée, le regard aussi noir que ma rage. Puis ce fut comme l'effet d'une bombe. Ses lèvres contre ma joue ont effacé tout ce négatif. Elle s'en est débarrassé d'un revers de main. J'ai rapidement tourné la tête vers elle et mon coeur s'emballe et cette douleur me reprend. Ma respiration s'accélère. Je n'ai fait qu'un pas et je me suis retrouvé plaqué contre elle à nouveau. Mon regard se plonge dans le sien. « Si tu tiens vraiment à partir pour ton cours, vas-y. » Je sens son souffle contre mes lèvres, je dérailles, je n'arrive plus à penser droit. Tout s'embrouille dans ma tête. Mon coeur tambourine contre mes tempes et mes mains de chaque côté d'elle. J'avais cette idée en tête, mais. « Hey! Vous deux! » Je sursaute et je m'écarte. Il ne manquait plus que ça. Je roule les yeux. « Vous n'êtes pas à vos cours ? Pour la cause, vous aller préparer un article pour le journal. Ensemble. » Mes yeux devinrent rond et je suis resté un peu bête. Il a fini par foutre le camp sans que je n'arrive à dire un mot.
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ft. nigel


Après mon acte de bonne samaritaine, j'ai senti l'atmosphère se détendre, mais je vous avoue que j'étais encore toute émoustillé par mon acte et mon coeur s'emballait encore de plus en plus, la distance qui nous avait séparé c'est tout de suite diminué, j'ai bien cru que mon coeur allait littéralement exploser. Si je tiens à partir à mon cours et bien putain qu'est-ce que j'ai envie de rester avec ce mec ! Mais, je ne peux pas lui dire je suis morte de peur ce n'est pas du tout mon genre, je reprends mon air sérieux et balance "De toute façon mon cours et bientôt finis, il va falloir que je demande à une de mes amies de me donner les cours" je soupire après la fin de ma phrase, je lève la tête légèrement pour pouvoir le regarder, oui malheureusement, je suis petite face à lui on dirait une enfant toute fragile.

Je crois qu'il allait dire quelque chose ou faire quelque chose quand on a été coupé par une personne, je n'ai pas tellement calculé ce qu'il a dit j'étais vraiment focalisée sur Creep, mais je crois bien que Creep lui a compris parce qu'il est très choqué voir même étonné, après qu'il ai roulé des yeux je me concentre sur les dires de la personne et lorsqu'elle annonce que l'on doit rédiger un article pour le journal, j'étais à deux doigts de péter un câble quand j'ai regardé Creep avec ses yeux rond ce qui m'a coupé court, le mec a fini par foutre le camp. Après quelques minutes de silence, je décide de dire "Bon bah je m'occupe de la mise en page et de l'impression, j'ai un logiciel sur mon ordinateur chez moi, si tu veux-tu peux passer après les cours" je le fuis du regard un peu gênée en attendant qu'il réponde



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Nigel Morgan & Spencer Reed
C'était quoi cette idée? Me laisser en plan y'a un an et demi et m'embrasser la joue aujourd'hui avec un simple désolé? C'est quoi ce plan foireux? Je ne savais pas si je devais en être heureux ou non de ce qu'elle venait de faire. J'étais soudainement confus, je n'arrivais plus à réfléchir. Mon coeur battait trop vite pour que j'arrive à dire quelque chose de plus. Elle m'avait noué la gorge, elle m'avait noué l'esprit. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Qu'est-ce qu'elle était en train de me faire. Elle était pire qu'une ensorceleuse. Tout ce que je ressentais, tout ce qui se passait à l'intérieur de moi m'était plus qu'inconnu. J'avais cette douleur au ventre, j'avais mal, trop mal pour bouger même. Je n'arrive pas à la quitter des yeux, j'ai ce frisson qui me parcours la colonne, j'ai de la difficile a respirer, j'ai l'impression que mon coeur veut sortir de ma poitrine. Me regard reste plongé dans le sien. Tout le reste autour de nous fini par disparaître. Je n'arrive pas à articuler quoi que ce soit. Je me racle la gorge et passe une main derrière ma tête pour me sortir de ma tête. J'ai fini par m'éloigner d'elle. - enfin. - La présence de cet homme m'a perturbé. Il m'a coupé l'herbe sous le pied, en réalité, c'est elle qui m'a coupé l'herbe sous le pied. Elle m'a mitigé, frigorifié, elle m'a arraché la voix. Une fois qu'il fut partit j'ai fixé le vide. Je ne comprenais pas comment j'avais pu ne pas lui cloué ce bec à cet enflure. D'accord, il était membre de l'administration, mais je ne m'étais jamais privé. J'ai tourné la tête vers elle les yeux bien rond. Elle ne semblait pas affecté par ce qu'il venait de se produire. J'ai eut un instant la bouche entre ouverte, je n'arrivais pas à parler, puis tout a déboulé d'un coup. « Non. C'est quoi cette merde. Il se prend pour quoi. Y'a pas à me dire quoi faire. Toi ? Moi? Quoi ? Faire quoi? Non. Mais. Non. Quoi? » Je suis perdu, je fixe le mur, rien n'est cohérent. « Journal. écrire moi quoi je perdu quoi il vient de se passer quoi je comprends plus quoi » Aucune ponctuation, je parlais trop vite. Je fais un pas de reculons puis je lève les yeux vers elle enfin. Tout se calme d'un coup, les idées trouvent leur place dans mon esprit. Je passe mes mains sur le visage écrasant un instant mes globe oculaires en poussant un long et lourd soupire. « Si tu y tiens vraiment, on le fera cette article, mais je le fais pour toi, pas pour ce con. Je viendrai chez toi si tu y tiens. » Est-ce que je viens sérieusement de dire ça. Je soupire et la regarde à nouveau. Drôle de tournure.
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ft. nigel


Bon d'accord, c'est vraiment déraisonnable de ma part. J'ai vraiment du foutre le bordel dans sa tête puisque déjà dans la mienne tout et flou. Il faut déjà que je me dise à moi-même qu'il y a un an et demi je viens d'arrivée et j'étais perdu loin de ma ville natale, loin de New-York sans repère et ce mec débarque comme une fleur, comme un dieu enfin je ne sais pas moi. Creep était vraiment là pour moi, je vous l'avoue. Seulement, je ne pouvais pas je n'étais pas prête. Toutes ces sensations vraiment, c'était plus fort que moi j'avais beau regarder sur internet, en tapant dans la barre de rechercher : que veut dire avoir des genre de papillon dans le ventre. À chaque fois, ça m'effrayait de voir ce qu'il été écrit, alors j'ai mis des distances j'ai carrément pleurée pour qu'il s'éloigne de moi, pour qu'il pense que ce soit de ma faute.

Aujourd'hui, tout est différent je crois .. Enfin, j'espère que je me sens prête. Mais cela il ne le sait pas. Peut-être que ce baiser sur la joue était seulement un prétexte pour me cacher des sentiments que je ressens vraiment, en lui proposant de venir chez moi : c'était comme-ci j'allais partir sûr de nouvelle bases saines avec lui. En effet, je vais lui balancer tout ce que j'ai sur le coeur de A à Z. Ça passe ou ça casse on verra, au moins j'arrêterais de me bouffer de l'intérieur.
Creep me fait revenir au moment présent, en balançant des morceaux en vrac de phrases incohérentes, je ne comprenais rien mais j'essayais de suivre, il devait être en colère à cause du gars, faut dire que nous demander de faire un stupide article de journal, était carrément l'idée la plus idiote. Je me sens prête à affronter mes sentiments, inviter Creep est surement pas la meilleure chose à faire, mais pour l'instant je ne vois pas d'autres solutions. Il se calme et me dit : que s'il fait cet article c'est juste pour moi, pas pour ce type. Mon coeur s'emballe directement - il faut dire que je m'excite pour un rien avec lui -, j'acquiesce d'un geste de la tête et me détache un peu de lui, vu que dans tous les cas il a été déstabilisé par ce mystérieux gars.

"Tu connais mon adresse ?" Je lui demande en évitant de sourire, car je suis contente qu'il vienne chez moi telle une adolescente de quinze ans. "Rendez-vous à dix-huit heures", je rajoute avant qu'il ne puisse répondre, je recule d'un petit pas vraiment minuscule que je ne sens déjà plus son odeur, un manque se creuse dans ma poitrine. Je prends une grande respiration silencieuse et le dirige mon regard vers lui.



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Nigel Morgan & Spencer Reed
déboussolé, perturbé, utilisé le mot que vous voulez, j'étais totalement sur le cul. Bouché, sans mots, sans voix, sans air. Si j'avais le choix entre continuer et mourir, je mourais sur le champs. Je n'aime pas ces sensations nouvelles qu'elle me procure. J'ai l'impression que tout s'écroule autour de moi. peut-être que j'aurais du la garder loin de moi. Peut-être que j'aurais du ne pas retourner vers elle. Autant de contradiction dans mon esprit, je n'arrive à rien. Aucun choix n'est fait et aucun choix ne semble vouloir se faire. Je voudrais foutre le camp, partir sans me retourner, même si elle en pleure comme je l'ai toujours fait avec les femmes. Je voudrais l'embrasser jusqu'à ce que mon souffle disparaisse. Il y a tellement de chose que je voudrais faire que j'ai l'impression que ma tête veut exploser. Puis là vient ce mec qui nous impose un article à faire pour le journal. Il nous balance ça comme une roche en pleine gueule. Pas de sujet, pas de piste, rien. Juste vous aller le faire et sans broncher. Moi qui avait la langue naturellement bien pendue, ça ne fonctionnait pas en ce moment. J'avais donné ma langue au chat il faut croire.

Puis il y a eut Spencer qui agit comme si rien était, comme si elle aimait cette idée d'être prit à écrire un article bidon pour le bidon journal de l'université. Je n'avais pas envie de perdre mon temps avec ça, mais d'un autre côté, être avec elle, je ne peux pas dire non. Je ne veux pas me casser la tête et trouver un sujet. Tellement de chose qui me passe à travers la tête et tous ne sont pas catholique. J'ai ce frisson qui me parcours le dos et je ne sais pas quoi répondre, je suis même indécis. « Ou- ouais... » J'étais incertain et pourtant, oui je connaissais bien son adresse. Pour y avoir été, je la connaissais. Je passe une main contre ma nuque en fronçant les sourcils. Je réfléchis. À quoi? J'en ai aucune idée. Je fixe le mur un moment avant de tourner les yeux vers elle. J'affiche un léger sourire en coin. « dix-huit heures, ça me va ouais. » Je fais quelques pas vers l'arrière et regarde au loin. « Tu veux que j'amène quelque chose? »
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ft. nigel


J'étais vraiment tombé à côté de la plaque, car on n'avait aucun sujet il fallait seulement trouver le scoop idéale et le remplir dans le journal de l'université. Mais, le plus choquant c'était qu'il connaissait mon adresse, il y a seulement une fois où il était venu parce que j'étais malade, la crève comme pas possible et qu'il m'avait ramené les cours parce qu'on lui a demandé - alors qu'il n'est pas dans mon cours, aller savoir pourquoi - j'avoue que c'était bizarre, mais je n'avais pas relevé. Le plus étrange ce jour c'est que je lui avais ouvert en pensant que c'était le livreur de pizza et qu'il allait gentiment me donner ma pizza quatre fromages sans faire attention à ma tenue de pyjama avec des licornes, simplement pour traîner chez moi. Mais, ce jour-là j'étais très gênée tellement que j'avais carrément rougis. Mais, tant pis, il m'a donné les cours et il est parti, seulement en ayant dit : que c'était les cours d'info. Voilà.

J'étais déterminé à ce qu'il soit là, à dix-huit heures, car je ne voulais pas que mon père soit surpris de le voir (de voir surtout un garçon chez lui) en rentrant du travail, alors que là, il sera là et je l'aurais prévenu je pense que lui-même préfère que ce soit le cas, mon père n'aime pas : les surprises, en plus Creep, pourra sûrement l'aider à cuisiner s'il reste manger.

Je souris face à cette idée et cette image de Creep, faire la cuisine chez moi. Lorsqu'il demanda s'il devait ramener quelque chose, ma phrase sortie sans réfléchir "Seulement toi, ça me suffit". La seconde d'après le rouge aux joues je me maudis et me traita de tous les noms possibles.



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Nigel Morgan & Spencer Reed
J'ai ce large sourire qui me prend à ce qu'elle me dit. Je crois que j'en suis même amusé. J'ai passé ma main dans mes cheveux et je lui ai fait un clin d'oeil. J'ai gardé mes distance avec ce sourire bien scotché sur mon visage, il ne voulait plus partir. J'ai replacé ma veste et je me suis approcher d'elle à nouveau. Je n'ai aucune idée de ce qui m'a prit, mais j'ai tendu le bras vers elle avant de glisser ma main dans sa nuque avant de la tirer vers moi. Je fais un pas avant d'approcher mes lèvres de sa joue. Je les poses au coin de ses lèvres avant de m'éloigner en douceur. Je secoue la tête pensant à cette teinte rouge qu'elle avait prit. Je me retourne rendu plus loin et je m'adresse à elle. « Dix-huit heures, je serai là. » Je n'étais pas quelqu'un de bien ponctuel, mais elle ne le savait pas, je ne lui avais jamais dit et elle ne l'avait jamais vécu avant. J'aurais peut-être du lui dire, mais trop tard, je m'éloignais. Je passe les portes de la bâtisse et j'ai cet air bête qui me prend. Je me suis arrêté, loin de l'université. « Je suis con quoi... Je connais pas son adresse. Moi et ma mémoire de poisson. Purée. » Je sors mon portable pour voir si j'y trouvais encore son numéro. Faut croire que je devrais changer mon nom pour Lucky. J'allais lui écrire plus tard. J'allais devoir sortir une raison à Ace pour qu'il me foute la paix. Tiens, j'allais lui ramener une douceur avant de foutre le camp, il ne s'en rendra pas compte.
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